Des oiseaux, c’est la première chose que j’entends. Lever les yeux vers une cage à oiseaux C’est parfaitement logique. Le gazouillis des oiseaux est constant, S’amplifiant puis s’éteignant dans le vide.
Le banc en bois Me provoque des frissons.
Des troncs sortent du sol Des feuilles suspendues au-dessus de ma tête Tremblent à chaque coup de vent. Mon corps aussi.
Sous mes pieds Un mélange de feuilles écrasées et de cigarettes Jaune et brun
Le ciel est d’un gris irréel Comme un dôme peint Sans profondeur ni dimensions Surplombant l’herbe verte du parc